Accéder au contenu principal

Je traîne... mais je suis toujours là !


Oui bon je sais, je traîne, je traîne.... je vous promets L'homme-soleil depuis des lustres et rien n'arrive. Sachez qu'il me reste 100 pages à lire. Je les aurais déjà terminé si depuis mon arrivée dans le monde du chômage il y a dix jours (volontaire, cette fois-ci) je ne faisais pas un espèce de blocage total sur la lecture. Comme si j'avais besoin de faire le vide, de rester loin d'un livre le temps de me remettre d'un traumatisme (Moi ? Traumatisée par mon expérience récente d'employée en librairie ? Non.) Je fais à la place une boulimie de séries télé (j'vous jure, quelle enfant...) et je planche sur mon projet de création de librairie : repérage de locaux, de quartiers, recherche de contacts, j'essaye d'y aller doucement, je me suis donnée comme temps de repos jusqu'à lundi prochain pour souffler un peu et reprendre mes esprits avant de me lancer dans cette entreprise qui va certainement me bouffer toute ma vie dans les quatre ou cinq années à venir. Eh oui, fini le temps des vacances, des week-ends a l'arraché, des "je rentre chez moi je m'allume la télé et je pose mes neurones sur la table basse", ça va être dur, alors là je vous avoue, je profite de mes derniers jours pour glander un peu, m'occuper de ma paperasse autre que celle du projet, m'occuper de moi, de mon nouvel appart, des bestioles (le félin, le canidé) qui sont en période d'adaptation (même si quand même ils s'adaptent très bien à la terrasse), mais je ne glande pas totalement non plus (même si j'essayais j'y arriverais pas).

Alors voilà, pour soutenir ma graphiste qui nous a fait un logo-du-feu-de-dieu-qu'on-aime trop-sa-race, je me suis inscrite sur le réseau social Biilink, un réseau qui permet aux femmes porteuses d'un projet de création d'entreprise de promouvoir leurs idées, de trouver des contacts, et surtout de participer à des concours permettant d'obtenir un prêt à taux 0 et un don financier, en plus de consulting gratuit.
Donc j'ai aidé ma graphiste à participer au premier concours (sa page ici : http://www.biilink.com/bi-comm) en likant sa page. (c'est bizarre comme mot, likant... je like tu likes, en likant, liker... diantre, Facebook de marde comme dirait mon homme)
Car il faut 100 likes pour pouvoir participer aux concours, eh oui ! Cent me direz-vous, pas si dur que ça tout de même, tout le monde à des amis (normalement...) qui peuvent aider à atteindre les cent.
Certes... sauf que Biilink est un peu traître (totalement même), il faut s'inscrire sur le site pour pouvoir liker. Et c'est souvent là que ça capote, les gens n'aiment pas s'inscrire à des sites internet, faut donner son nom, créer un compte, valider un mail, toussa toussa, trop relou quoi. Alors bon, moi je l'ai fait, et j'en suis très heureuse, déjà parce que j'ai pu aider avec ma maigre participation, ensuite parce qu'à mon tour je peux parler de mon projet et tenter de participer aujourd'hui à un concours qui propose un prêt à Taux 0 de 50 000€ sur lequel on ne cracherait pas avec mon associé (pas du tout même...), un don de 5000€, et 2 ans de consulting gratuit. Tout bénéf quoi, un vrai coup de pouce pour les entrepreneurs ! Alors on tente le coup, sait-on jamais, que notre projet attire du monde, que vous décidiez de nous soutenir, que ça fonctionne.

Tout ça pour dire que, si vous voulez nous aider à créer notre entreprise, vous pouvez nous refiler de la tune, payer notre loyer ou avancer notre stock, mais si vous voulez pas autant vous mouiller (c'est vrai quoi, on va pas trop en demander non plus) vous pouvez le faire en participant à ce concours, en faisait un petit clic sur "like" après avoir validé votre inscription sur Biilink.
Mais vous avez aussi le droit de vous en tamponner royalement la coquillette, on comprendra ! 

Alors la page à liker, c'est là : http://www.biilink.com/dimensionfantastique

Et en avant première pour vous, le logo que nous avons choisi pour notre entreprise, réalisé par Sandrine Gendek, please.



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Transmetropolitan, de Warren Ellis

Des lézards géants et des hommes La campagne continue ! Même à deux têtes, les chats sont nos amis. Ouais je sais. Une semaine est passée depuis le dernier article, je me suis laissé aller. je tiens à dire une chose avant de continuer plus loin sur un nouvel article : ce blog est une envie de ma part de vous faire partager ce que j’aime, et de vous faire découvrir de nouveaux livres, films ou autre, en espérant que vous y trouviez votre compte. Je ne suis pas journaliste, je ne suis pas écrivain, je ne suis pas une spécialiste de tous les genres que j’explore, et parfois je me trompe et je dis des conneries. C’est là que vous intervenez, postez des commentaires pour échanger avec moi, et que nous sommes tous heureux, moi y compris, de nous coucher moins bêtes ce soir. Voilà, alors je compte sur vous hein, jouez le jeu, ça me fera plaisir  ! Je tiens premièrement aussi à m’excuser pour celui de dimanche dernier, qui comparé à mes autres articles précédents à été é

Librairie La maison des feuilles

La librairie est ouverte ! Elle est ouverte depuis un mois, mais je n'avais pas encore trouvé le temps d'en parler ici. Voici quelques photos de l'ouverture pour vous mettre en appétit. Depuis, la sélection de livres s'est étoffée et le mobilier ne cesse d'être optimisé, mais nous sommes déjà très fiers de ce qui a été accompli et des titres proposés en boutique. Les mots et petites attentions des client·e·s et du voisinage nous touchent particulièrement ; fleurs, chocolats, et ces sourires aux coins des yeux qui nous réchauffent le coeur. J'essayerai de reprendre ici quelques chroniques de temps à autre, les bonnes lectures s'empilent déjà au coin de mon lit, il me faut juste trouver les mots maintenant. Librairie La maison des feuilles 1235 rue Bélanger Montréa, Québec, H2S 1H7

L'enfant de poussière, de Patrick K. Dewdney

Note de Guix : critique rédigée en novembre dernier, à remettre dans son contexte d'écriture, soit 30cm de neige sur le trottoir et -10 degrés. Chaudement blottie sous ma couette, les pieds engoncés dans des chaussettes polaires molletonnées, une tasse de thé fumante sur ma table de nuit, je referme L’enfant de poussière avec stupeur et incompréhension. Qu’est-ce qui a pu mal tourner à la fin de ma lecture ? Nous avons choisi ce titre pour notre troisième session du Cercle de lecture imaginaire, et mes attentes étaient grandes. J’avais lu des critiques dithyrambiques sur Senscritique, Babelio, Goodreads. Les lecteurs de Patrick K. Dewdney étaient unanimes : ce roman de fantasy français était une saga incontournable, à l’écriture enlevée et à l’intrigue bien ficelée. Alors pourquoi suis-je mitigée ? Creusons ensemble. L’enfant de poussière est le premier tome d’une saga de fantasy de l’auteur d’origine anglaise – mais écrite en français – Patrick K. Dewdney publi